Le réveil dans la gondolière reste mystérieux pour la plupart d’entre nous. Qu’est-ce qui s’est passé ? Est-ce que on a gagné ? Est-ce que on a perdu ? Sérénité ? L’Écorcheuse ?

Tant de questions qui restent sans réponse. Quoi qu’il en soit, nous sommes de retour en Pangée et notre destination se dessine après une rapide discussion.

Prothéos.


Pourquoi la capitale vous me demanderiez ?



Elorin supposait d’une part que notre retour en Pangée était de l’œuvre du dieu céphale mais d’une autre, que les autres oubliés qui avaient été transmigré par l’Écorcheuse avait eux aussi été renvoyé en Pangée. Ce qui sous-entendait sa fille. Et elle avait disparu à Prothéos, dans sa chambre.

Une théorie qui se retrouvera vite confirmée une fois arrivés à la Capitale et après quelques questions. Mais entretemps, le voyage n’avait pas été de tout repos.

Un accident en gondolfière est advenu, une mauvaise manœuvre qui avait arraché la moitié de la cale et qui avait fait beaucoup de blessés. Ce jour-là, sans nos capacités magiques, on aurait eu un mort. Uclic était passé par-dessus la gondolfière et s’était écrasé en contrebas. Sans les soins in extremis de Hudril, l’aventure se serait arrêtée là pour lui.

Bref. Plus de peurs que de mal, on décide de remonter jusqu’au monastère de Fadmir afin de se ravitailler en eau, et peut-être en matériau afin de consolider le véhicule pour le reste du voyage.

On y passera quelques jours, accueillis par Faafulsio la nouvelle maître du monastère qui nous offrira comme son prédécesseur matière à travailler le corps et l’esprit.

Puis finalement, nous reprendrons la route vers Prothéos. Durant les quelques jours de voyages, Hudril s’étant vu octroyé de nouvelles capacités par sa foi aura la possibilité de contacter nos différents alliés ici et là en Pangée. Les retours d’informations sont rapides, percutants mais pas forcément comme nous le voulions.

Je vais résumer ça rapidement

A Ikhâr, Fan Goriah nous indique qu’il y a des dissensions entre nos deux moines et Ougah.

Du côté de Kemoca, elle est bien arrivée dans le nord, mais vraisemblablement le clan Kraslyud a rejoint le clan du masque blanc. Des propos confirmés par Masgud qui viendront effacer les quelques soupçons que nous pouvions porter sur la gnome.



Puis finalement, nous sommes entrés en communication avec Duliash. Sa réponse est rapide et formelle. Elle n’a plus besoin des humains pour sauver son peuple, le clan du masque blanc l’a aidé à les sauver de la gangrève. Nous lui envoyons un message pour lui expliquer que la gangrève a été lancé par l’entité que sert le masque blanc, et que c’est pour ça qu’ils ont pu les protéger. Aucune réponse de sa part après cela. En espérant au moins ne pas la voir en face de nous un jour.



Bref, on arrive à Prothéos et comme je disais auparavant, on retrouve aisément la piste de la fille d’Elorin. Et croyez-le ou non, on arrive même à s’infiltrer par la grande porte dans l’endroit où elle est.



Les geôles de Prothéos. Ouais. Visiblement poser des questions sur le gros scandale magique qui vient d’apparaître comme si de rien n’était, c’était pas la meilleure idée.

Donc nous disions la capitainerie.


On nous laisse entrer sans grandes difficultés. Mais les gardes nous observent avec méfiance.

Le sergent nous reçois rapidement. Il a même avec lui un petit coffre pour nous.

Dedans, il y a des bracelets. Quatre exactement.

Et étrangement il nous les mets aux poignets, Elorin et moi.

Et merde, leur contact est bizarre.

Elorin n'est pas surpris, mais n'apprécie pas non plus...

Il m'apprend plus tard qu'ils servent à nous empêcher d'utiliser la magie. Chouette...



Aller, direction les geôles.

Encore...

Sympa l'accueil... En plus, elles sont blindées.

Et étrangement, celles d'Antéone vont nous manquées. Au moins elles étaient propres, et il y avait un peu de vue sur l'extérieur...

Toujours est-il que l'on nous a mis ici pour attendre l'ordre Rouge.

Cool...



Un peu après nous, Hudril nous rejoint, avec les mêmes bracelets.



Vous me direz : "La misère ! Vous sauvez le monde est c'est comme ça qu'on vous remercie..."

Ouais c'est nul.



Mais bonne nouvelle, il en fallait vraiment une, Grisou est toujours avec nous !



Bon, c'est long. Vraiment long...

Il nous a fallu attendre 9 jours avant que l'on nous sorte de là.

9 jours !!!

Autant vous dire que l'on était pas bien présentables.

Enfin, ils nous sortent du trou. La lumière est cruelle avec nos yeux, elle nous avait manqué.

On nous amène au premier, une bassine nous attend.

Punaise, ça me manquait, je ne me suis pas fait prier pour me baigner.

Certes on ne pouvait pas retirer nos bracelets, mais on pouvait s'en accommoder.

Enfin... pas tous... Mais quelle idée aussi de porter une armure. Hudril a bien eu du mal pour se dévêtir.



Une fois propre, on nous emmène dans un bureau.

Enfin, on nous emmène... Pas tout de suite, encore une heure à attendre, comme si en 9 jours ils n'avaient pas eu le temps de se préparer.

Donc au bout d'une heure on rentre dans le fameux bureau. Dedans, un homme nous attend.

Un gars, chauve, barbe tressée, habits rouges, l'air super cool.

En fait non. Pas du tout même...

Il nous "demande" de nous assoir...

Prend trois petites baguettes, les casse, et les balance aux 4 coins de la pièce.

Il fallait attendre un truc particulier ?

Mouais encore un truc de mago...



Les questions commencent.

Nous lui expliquons nos aventures. Racontant la fin de l'Écorcheuse, Le retours des Oubliés kidnappés. L'origine de la gangrève, et sa fin potentiel.

Bon là il nous dit que ce sont les Justicarites qui ont stopper la gangrève. C'est sûr, ils ont laisser mourir tous les contaminés.

Et le fait d'avoir été accrédité par le cardinal Balthus, ne l'intéresse pas. Même il s'en moque complètement. Il est au-dessus de tout le gus...

Toujours est-il qu'il en ressort que nous sommes autant des victimes que les autres.

Elorin et Hyëlthia expliquent l'origine des Ravageurs.

Quand nous abordons les Orcs, il s'en moque. Ce ne sont pas leur priorité.

Et nous remarquons qu'il ne nous aime pas. Nous sommes de vils profiteurs marchands pour lui.



Les enfants revenus ne sont pas tous indemnes. Certains sont réapparus avec quelques mutations. Mais tous sont prostrés.

Il nous apprend que la fille d'Elorin a muté elle aussi.

Et comme Hudril a fait comprendre qu'il ne l'appréciait pas trop. Il faudra attendre encore une semaine pour qu'Elorin récupère sa fille...

Mais nous pouvons partir.

En quittant la pièce, il donne un document à Hyêlthia. Ceux-ci pourraient simplifier la "régularisation" de cette dernière.

Une fois sorti, le sergent nous retire les bracelets. Enfin !



Direction l'administration, pour que Hyëlthia soit "en règle". Le document du questeur Draclai, permet à réduire d'une année sa période au "service" de l'empire. Et C'est Hudril qui en sera le propriétaire.



5 jours plus tard, donc, retour à la capitainerie. Là, on nous guide vers un dortoir.

Galmeth vient à la rencontre d'Elorin.

C'est donc là où il se trouvait ?

Le vieux monsieur était au courant du retour de Liana, et il a passé tout son temps au près d'elle.

La petite est "revenue" avec deux énormes cornes en onirium. Bien évidemment le retour a été difficile pour l'enfant, comme la plus part, elle reste muette et prostrée dans un coin...

Elorin arrive quand même à la sortir de sa torpeur. Maintenant elle est dans ses bras. Le sert fort, et pleure toutes les larmes de son corps.

Hyëlthia donne à notre magicien des vêtements neufs pour sa fille. Faut dire que ceux que les enfants portent sont simplistes, j'apprends que ce sont les vêtements donnés aux deuxièmes nés lors de leur classes.

Pour ma part, je donne à Elorin le chapeau de Löne Kernos pour l'enfant. Elle en aura besoin.



Tiens, notre idée d'ouvrir un autre comptoir à Protéos était une bonne idée. Lucrative.

Tout c'est vendu. Maintenant il veut trois tonneaux.

Et les re-négociations ont été bonnes pour nous. 1800 pièces le tonneaux, avec une livraison tous les 2 mois. Cool non ?



Hudril a prévenu Ser Eldhran que le clan de Duliash a rejoint celui du masque blanc, et que Malathor a quitté l'ordre, du coup mission à reconsidérer.

En retour il nous dit que ceux du Masque blanc sont sympa en fait... Là je ne comprend plus rien...



C'est bon, c'est décidé, nous nous séparons un petit moment.

Hudril et moi irons vers le sud.

Hyelthia et Elorin, Ikhar.

Ca faisait presque trois bonnes heures qu'on était arrivé à Wissenheim et quelques jours que les autres nous avais quitté pour la Brisure. Au plus profond de moi-même, j'avais vraiment peur pour eux, peur que Laetheïn'an ne puisse tempérer la vengeance que Hudril nourrissait par sa haine et peur que ça finisse dans un bain de sang. Le leur. Mais à des milliers de kilomètres d'eux et avec une autre tâche toute aussi voir encore plus importante que la neutralisation d'un responsable de la Brisure, je devais me concentrer sur la mienne.



Occuper Meïl'an le plus longtemps possible avant qu'elle ne se dise qu'une de ses idées farfelues qui filent à toute vitesse dans sa tête en est une bonne et nous retrouver avec un tas d'ennuis. Et faire en sorte que Lianna se sente chez elle, comme dans n'importe quelle famille.



Tout les coups étaient permis, passant de l'achat de sucreries à l'achat de jouets et même aux promenades entre les étals du marché de Wissenheim. La pression sur mes épaules s'était relâchée, profitant des petits moments qu'offrait la ville à la petite famille recomposée de toute pièce que nous étions. J'étais à la fois heureuse, contente de n'avoir à me soucier que du bonheur des filles et à la fois assez perdue, à plusieurs années lumières de me sentir légitime à m'occuper d'un enfant.

Ca me pesait beaucoup, mais la présence d'Elorin et des filles venaient panser la blessure béante qu'était le manque des miens.



C'était leur première rencontre avec Dania, on avait plusieurs questions à lui poser et j'avais envie de voir comment elle allait. C'est elle qui nous avait aidé à revendre le livre magique, nous offrant une entrevue avec l'archiviste de la bibliothèque de Wissenheim et après lui avoir résumé nos dernières aventures en Oblivion, naturellement on s'était dit qu'on pourrait l'inviter quelque part pour manger. Une fois à bord de la gondolfière, puis une autre dans un restaurant assez classe.

C'était vraiment agréable. C'était même sympa. Vraiment. Genre Dania était vraiment quelqu'un de bonne compagnie.

Finalement, on l'a quitté quelques temps plus tard pour reprendre notre voyage jusqu'à Ikhar. Quelques frayeurs sur la route, mais rien de trop grave et au fin de mot tout ça, nous avons atterris à Ikhar. Sain et sauf.

La réparation de la gondolfière a été le premier sujet sur la table, gérée par notre équipage et nous de notre côté, nous nous sommes rendus à la capitainerie afin de voir Fan Goriah. Un résumé de ce qui s'était passé depuis notre dernière rencontre, puis quelques mots sur cette " amende" qu'elle devrait recevoir d'ici quelques temps avant que son visage ne vienne se raidir et que son ton de voix change drastiquement.

Pour une fois, j'étais assez confiante car en possession de la somme et du coup, je pensais pas qu'elle aurait grand chose à nous reprocher autre que nous dire que n'avions pas réellement été très discret mais j'étais loin d'imaginer l'état de colère qui l'avait pris.

En clair, la somme pour l'amende était bien trop élevée pour les délits qui nous étaient attribués et selon elle, cela ne voulait dire qu'une chose. L'empire voulait notre mort, ou plutôt celle de la compagnie et en nous sur-amendant ainsi, il s'assurait que tôt ou tard, si notre manque de vigilance ne cessait de nous faire défaut, nous ne pourrions payer ces montants et nous devrions céder la compagnie ainsi que toutes ses gondolfières à l'Empire. Un plan. De Connard. Clairement.

Et dans la grande liste des défauts possibles, tuer un représentant de l'Empire était quand même bien haut.



Il était déjà sans doute trop tard, nous ne pouvions qu'attendre le retour de nos compagnons afin d'attester oui ou non de la possible grosse erreur qu'ils venaient de faire sans s'en rendre compte.

La brisure...

Hudril en dit du bien.

Il y a la mer, certes, mais la crasse aussi...

Toujours est-il que la première nuit c'est bien passée. L'ordre du paladin nous offrit des chambres. Propres. J'accueille ça avec joie.



Le lendemain matin, nous pouvons nous restaurer dans la salle commune avec les autres.
Et quelle fut notre surprise de voir la Questeuse Viviane attablée. Elle a dut dormir ici elle aussi.

Son accueil est froid et distant. Elle ne nous apprécie pas vraiment...

Du coup, Hudril essaie de la convaincre sur le bien fondé de nos actions passées. Lui faire comprendre que nous ne sommes pas des pleutres qui ont fuit la ville sainte. Que nous avons nous aussi œuvrer pour sauver les gens, mais pas au même endroit, et que sans nous cela aurait été pire encore... Et il lui expliqua aussi la nécessité de faire la mission qui nous a amené ici...

Rien n'a changé... Une vrai tête de mule.



Comme Hudril est connu dans la ville, il se rend méconnaissable. Ainsi il nous est possible de parcourir la ville à la recherche d'un navire.



Malheureusement, aucun bateau ne quittera le port pour Legeryth avant 4 jours. Et ce serait en plus un navire de commerce, moins discret mais plus honnête. Bien sûr nous offrirons nos services comme matelot. Petit hic, nous avons du donné nos noms... Il va nous falloir trouver un autre moyen...

Choux blanc... Hudril pense alors à la destination de Halam'rah. Plus proche, mais beaucoup plus surveillée... Si cette nuit ça se passe mal...



Pour assurer nos arrières, il prépare un chemin de repli. Une petite planque où nous déposons des vivres facilement accessibles.

Nous en profitons aussi pour aller inspecter, de loin, la capitainerie.

Ils sont nombreux... mais, chance pour nous, ils n'ont pas l'air d'être des plus efficaces.

Nous avons aussi mis une barque à notre disposition pour la fuite.



Les préparatifs prêts, nous nous retrouvons au lieu de rendez-vous.



L'approche du bâtiment se fait par la mer, et nous entrons dans la bâtisse en toute discrétion.

Bien évidemment des gardes surveillent le ponton, seul point faible. Mais comme ils se sentent en sécurité, la diversion avec les filles fonctionne.

Un seul garde ne sera mis hors de combat, et il n'aura un sacré mal de crâne le lendemain.

Les autres... ben ont va dire qu'il sont partis assister à plusieurs "récitals". À chaque recoin, nous pouvions entendre des "chanteuses" en action.

Les cellules que nous passons ne renferme pas la cible de la Questeuse. Mais un nain nous a vu, et nous lui avons promis de revenir le sortir de là, ça ne nous coutera pas grand chose.



Sceli a un pouvoir intéressant, elle peut communiquer avec quelqu’un à distance, sans que cela ne se remarque. Cela nous a été bien utile car un garde... "dansait"... avec une "cantatrice" dans le couloir.

Le chemin jusqu'à la forteresse n'a rencontré aucun problème. Même la progression dans celle-ci.



En fait tout c'est bien passé jusqu'à ce que cette connasse de Questeuse n'ouvre sa gueule.

Ouais, nous avons monté les niveaux. Trouver le prisonnier. Prisonnier qui bien sûr n'est autre que le forgerons gnome qui a fabriqué les aiguilles à Antheone.

Pour être sûr que c'est le bon, nous laissons la questeuse vérifier.

Et elle n'a rien trouver de mieux que de lui dire à voix forte qu'il est en état d'arrestation. La porte était encore verrouillée... Bien sûr qu'il a gueulé ! Mais quelle conne !!



L'alarme est donnée, nous tentons de le neutraliser, sans succès. Du coup retour en arrière.

Comme nous sommes repassé par le même chemin qu'à l'allée. Les "spectateurs" n'étaient pas prêts à notre passage. Bizarrement il n'est pas aisé de courir avec le pantalon sur les chevilles.

Comme promis j'ouvre la cellule du nain.

Tout le monde plonge, et Sceli et moi allons chercher la barque pour les 3 autres.



La gnomette nous trouva un petit îlot où nous pouvons nous cacher le temps que tout se calme.

Franchement la Viviane en a pris pour son acabit. Heureusement pour elle que c'est une questeuse, sinon...



Pour info, le nain s'appelle Goran, c'est un déserteur de l'armée impériale. Après son service, il s'est fait avoir et à rempiler pour 50 piges... On peut comprendre sa décision.



Toujours est-il qu'après ça, nos chemins se sont séparés.

Je crois que Sceli nous aime bien, et j'avoue que j'aimerais bien la revoir.

La Questeuse... je m'en foue, elle peut bien creuver. Enfin j'espère qu'elle ne parlera pas de nous.



Comme nous n'avons pas tenté d'assassiner le pourri, rien ne nous empêche de filer sur le bateau de marchant.



Compte-rendu : Mission ratée, mais mission discrète.

Ils sont finalement de retour.

Leur mission a échoué mais est-ce un mal?

Je n’imagine même pas quelles auraient été les conséquences de leur réussite.



C’est lorsque j’étais dans la taverne avec Lianna que j'ai vu Hudril rentrer.

Hudril m’explique qu’ils sont tombés sur la Questeuse Viviane, cette dernière avait également une affaire à régler dans les geôles de port-aux-bris.

Elle devait libérer un forgeron pour le ramener à Anthéone, celui qui avait fabriqué les aiguilles qui ont servi à transmettre la gangrerêve.

Quand cette dernière l’a vu, elle a gueulé et le forgeron a alerté la garde.

Laetheïn’an arrive enfin en début de soirée, elle est accompagnée de Adriel et Usco.

Il semblerait également que Ouga ait quitté Ikhâr il y a 3 semaines.

N’ayant pas encore croisé les moines depuis notre arrivée, je leur donne les documents que Uso nous a donné, à l’intérieur de simples ruban de tissu sont présents, ce qui indique la fin de leur entrainement et donc de leur esclavage.

Hudril a encore tenté le coup avec Adriel, mais il y avait apparemment un petit problème d’odeur ambiante…



Trois jours plus tard, Fan’Goriah nous signale qu’elle a reçu un message du Grand Archonte de Justicar invitant les dirigeants de la compagnie des vents à une inauguration qui aura lieu 2 semaines plus tard à Aquistée, sauf que nous n’aurons pas de gondolfière avant un certain temps…

Petite chose étrange, Kemoca n’est pas là alors que sa gondolfière est en ville.



Nous avons passé la plupart du temps à aider, à s'entraîner, le temps des réparations de la gondolfière.

Nous avons payé un peu plus cher pour accélérer les réparations et y ajouter des chambres, parce que bon dormir tous dans la même pièce ça commençait à être gênant…



Il semblerait également que l’équipage en ait marre de devoir faire la nounou, nous avons donc cherché une personne qui pourrait nous aider sur ce point, après des recherches prolongées, nous avons finalement trouvé une naine qui accepte de faire le boulot.



Trois jours avant notre départ, les gens semblent s’agiter à l’extérieur, je ne sais pas ce qu’il se passe mais ça sent pas bon.