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Admin
Messages : 145 Date d'inscription : 30/08/2024
| Dim 1 Sep 2024 - 14:33 | |
C'était une idée idiote !
J'ai failli y rester, mais on a pu trouver une pierre de coralite.
Hudril réussi à ce que Sœur Maëline envoi un message à Ser Phebus lui demandant de prévenir notre équipage.
Chose étrange, le comportement d'Hudril a agacé Hyëlthia. J'ai pas bien compris pourquoi. Il a toujours fait comme ça avec une nouvelle rencontre, surtout si celle-ci est magnifique. Serait-elle jalouse ?
Bon plus sérieusement, elle partie, en rêve, parler avec Réa. Lui racontant ce qui c'était passé dans le volcan, le massacre de masse et les anciennes guerrières Song devenues mortes-vivantes. Certainement un aperçu de ce qui se passera, mais à des proportions plus grande vu le nombre de "participants".
Elle lui parla aussi du portail qui nous mènera certainement en Oblivion sur la piste de Nostromo. Ainsi que notre retour n'est pas vraiment connu, on espère revenir avant l'Apothéose... Le fait du retour des flux magiques servant aux communications, nous testerons demain si cela est vrai.
En effet, Hudril pu contacter Okine le lendemain.
Après nous être reposés suffisamment, nous faisons nos adieux à nos compagnons, nous souhaitant réussite. Il leur en faudra, le trajet vers leur forteresse ne sera pas simple.
Une fois la pierre posée sur son emplacement, nous traversons le portail...
... Encore une idée stupide ! Nous sommes projeté sur des obstacles d'onirium, et notre réception est accueillie par une surface de limaille... Ce rude accueil failli être notre dernier voyage dans le monde des rêves, surtout pour Elorin et moi...
Le lieu d'arrivé est une étendue immense faite de limaille de fer.
À plusieurs dizaines de kilomètre au-dessus de nos tête, un plafond. Plafond perforé par une faille aussi large qu'un continent où règne le ciel d'Oblivion.
Les bâtiments autour de nous s'effritent et tombent en poussière.
Seul un édifice, haut de 300 à 400m, reste debout. Sur celui-ci un grand nombre de disques ressemblant à ceux de la forteresse de père Régulus. Plus tard nous apprendrons qu'il s'agit de l'Horlogion, temple à la gloire du seigneur Céphal.
Nous pouvons aussi distinguer à l'horizon comme une muraille. Ne sachant où nous diriger, c'est donc notre destination.
C'était bel et bien la chose à faire.
Au pied de celle-ci, un camps de tentes disparates.
Un être de petite taille, atteint de mal formation, nous observe. Derrière lui, des centaures sont visibles.
Visiblement le gnome nous attend.
"Halte. Avez-vous le formulaire A86 de le Néo-accadémie ?" nous cria-t-il.
À ce mot, nous sortons la carte de Zanob. Mais il aurait mieux fallu que cette carte soit physique et non proverbiale. Une pile de documents, aussi haute que nous, nous est demandée de remplir...
Pensant trouvé mieux, nous demandons si Clive ne serait pas présent ici par hasard. Coup de chance, il est bien là. Mais la discussion a été longue pour qu'il vienne à nous... |
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Admin
Messages : 145 Date d'inscription : 30/08/2024
| Dim 1 Sep 2024 - 14:34 | |
Et voilà qu'on marchait avec Clive en direction de cette espèce de tour bizarre. Il nous apprit que de l'autre côté de la muraille la gonolfière de Nostromo gisait détruite depuis au moins une semaine, au moins on savait où le trouver, surement au centre de la cour gigantesque remplie de sortes de roues en métal qui tournaient dans un sens ou l'autre. Apparemment le chercheur qui a essayé de traverser en volant s'est écrasé et a fini broyé par les méca-trucs là qui tournent. Hyelthia a l'idée brillante d'utiliser une image copie d'elle pour inspecter le terrain, la faisant disparaitre au passage. Ils ont toujours pas compris qu'il ne fallait pas utiliser la magie en Oblivion après tout ce temps, eeeeh... 'fin bon, apparemment ça l'avait juste téléporté à la place de son image, du coup on s'est élancé sur ce labyrinthe mortel pour la rejoindre. En tout cas Elorin a essayé avant de promptement disparaitre en sautant sur une des roues. En tout cas on a pu rejoindre Hyelthia et s'aventurer en dessous, où encore plus de rouages bougeaient dans tous les sens et changeaient de place et direction toutes les 30s. Elorin était quelques dizaines de mètres derrière et réussi à nous rejoindre à la porte que l'on s'empressa avec Laethein'an de crocheter. A l'intérieur, je remarquai des traces de la limaille de fer extérieure, une personne était passée ici avant nous. Dans le long couloir devant nous, une fresque monumentale dépeint une orc, une pionnière qui aurait rencontré Céphale et aurait forgé 9 lames pour lui. Puis l'orc aurait rencontré Azéliark qui lui aurait demandé de reforger une dame d'ombre, avant de l'utiliser pour détruire une autre dame puis d'enchainer l'orc. Hyelthia nous explique qu'il s'agit de Pandora, sûrement l'ancêtre du clan Kraslud. C'est alors qu'on est arrivé dans une pièce gigantesque faite d'onirium. Des forges éteintes bordent les murs et au centre deux silhouettes. L'une est nostromo, percé de dizaines de coups de lance, l'autre, Pandora, enfermée dans une sorte de cercueil métallique de torture. A ses pieds le sang de Nostromo était aspiré par des sortes de tuyaux. D'entrée de jeu, la bougresse s'est montrée désagréable, nous traitant de sales batards, mais au moins elle était bavarde. On apprit que Céphale l'avait trahi, et que plus rien ne pouvait arrêter un dieu aussi puissant qu'Azéliark, qui comptait utiliser le rituel pour regagner un corps avant d'entrer en oblivion et s'emparer de la dame d'ombre reforgée pour tuer tous les autres dieux. Cependant la lame est encore gardée par Pandora, elle pourrait devenir assez puissante pour tuer Azéliark, si elle était reforgée à nouveau. Et pour ça il lui faut un sacrifice d'une dernière dame d'ombre... Notre seul espoir il semble repose dans le sacrifice de Nocturno par Hyelthia. |
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Admin
Messages : 145 Date d'inscription : 30/08/2024
| Dim 1 Sep 2024 - 14:34 | |
Descendre les escaliers. S’enfuir. Disparaître. Elle hésite. Un cœur lui de foncer, mais le sien hésite. Titube. Trébuche…
Un bruit sourd la ramène à la réalité. Elle pose ses yeux sur Sépulcre, puis sur les autres individus assis autour de la table. Fan Goriah, Kouza, la Reine Éternelle, Ceïlan et Zuss’oibra.
Le bruit sourd, c’est Hudril frappant du point qui s’insurge contre les pertes humaines qui vont être subies demain. Il vocifère que l’on a pas fait tout cela, de sauver le plus grand nombre à chaque fois pour en sacrifier aussi simplement et facilement plusieurs dizaines de milliers d’âmes. Inconnu, dont je n’ai que faire, surtout si cela se dresse entre Azerliak et moi.
Les esprits s’échauffent tandis que le plan établis nous est expliqué. Gérer les menaces anti-aériennes avant de pouvoir jeter nos gondolfières dans la bataille et repérer Azerlik.
Les voix montent et mon sang ne fait qu’un tour lorsque Hudril s’en prend à notre elfe. Lui écraser mon point sur la pommette semble être la solution et notre échange ne fait qu’empirer la situation, mais on m’offre la possibilité de le faire. Il me sait par le col et ses dents n’en doivent leurs saluts qu’à ses larmes qui coulent sur son visage. L’effusion de sentiments, de peur, de courage et d’attachement me donne envie de vomir. Et le voilà de nouveau à me bassiner avec son esprit de famille, son amour fraternel pour moi. Lae s’y met aussi mais c’est trop tard, aucun d’eux ne comprend. Aucun d’eux ne peut comprendre, je ne leur en veux pas. Mais qu’ils arrêtent de se mettre à ma place, qu’ils arrêtent de vouloir faire un choix pour moi.
Finalement l’histoire autour de la larme apparaît. Détruire Azerliak, ou détruire Azerliak et effacer toute son existence et ses méfaits.
Les morts ne reviendront pas, Justicar ne reviendra pas.
Elles ne reviendront pas.. |
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Admin
Messages : 145 Date d'inscription : 30/08/2024
| Dim 1 Sep 2024 - 14:35 | |
Demain sera notre dernier jour dans ce monde.
Grâce aux miens, nous pûmes survivre à notre dernier périple.
Nous sommes recueilli sur leurs aéronefs. Des gondolphières typiquement elfiques, fines, élancées et gracieuses.
Nous y retrouvons toutes les personnes qui ont confiance en nous, ou suivant nos principes en vue de sauver Pangée.
La Reine Éternelle est là, et nous a accordé audience.
À la fin de celle-ci, ma Reine nous souhaite congé.
Après notre discussion quelque peu mouvementée, Hudril souhaite s'entretenir Elle.
Pour ma part, c'est avec Lorien Gayle, Ceïl'an, que je veux discuter. Le sort de Meïl'an me préoccupe et j'espère qu'elle pourra lui permettre de survivre à notre projet héroïque... Ou suicidaire...
Elle comprend bien cela et me rassure en m'informant que ma sœur, et la fille d'Elorin, sont en sécurité dans les palais de la capitale. Malheureusement, elle me dit qu'elle sera demain avec les manteaux gris en première ligne.
Peinée, je la prend dans mes bras et nous nous souhaitons de réussir dans notre entreprise.
Elle est, malgré tout, une amie qui m'est chère, la perdre m'attristerait énormément.
La route de mes amis et la mienne arrivent à se réunir autour d'un verre. Hudril à réussi à organiser un moment de détente avant les tempêtes du lendemain. Nous arrivons alors à discuter avec les amis que nous n'avions pu voir depuis longtemps.
Nous arrivons aussi à nous décider sur l'utilisation de la larme de Chronos.
Hudril qui était indécis, souhaite utiliser l'artefact. La discussion avec ma Reine a du le décider.
Elorin abonde dans ce sens, l'Écorcheuse n'aura pas existé, et elle n'aura pas changé sa fille.
Seule Hyëlthia ne veut pas s'en servir. Chacun ses convictions.
Fan'Goriah nous en veut d'avoir causé tant de troubles pour la compagnie des vents, et nous souhaite de réussir. Oui, si nous arrivons à effacer l'existence même de la nécromancienne, nous ne nous serions jamais rencontrés et la compagnie ne soufrerait pas de tous ces troubles... J'avoue la comprendre...
Le reste de la soirée c'est malgré tout bien terminée. Elle s'est terminée pour moi avec un petit moment d'insouciance... Un moment sans lendemain ni conséquences...
Nous nous séparons et partons nous reposer pour être frais et disposés aux évènements du matin.
Hudril nous dis qu'il a demandé à Duliash de le contacter cette nuit.
C'est auprès de Leaho'an, mon misteïr, que j'ai envoyé un message lui demandant la même chose qu'à Ceïl'an. Celui-ci me dit que tout sera fait, et m'informe qu'il fera parti de la garde prétorienne de le Reine. C'est l'archonte qu'Elle part affronter. Je leur souhaite sincèrement de réussir, leur combat sera décisif.
Sachant que ma sœur est sous bonne garde. C'est avec un poids en moins que je m'endort.
Demain sera notre dernier jour dans ce monde. Quoi qu'il arrive. |
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Messages : 145 Date d'inscription : 30/08/2024
| Dim 1 Sep 2024 - 14:36 | |
Allez rassemblez-vous une dernière fois les amis que je vous conte la pire bataille de mon existence.
Alors que notre embarcation se taillait un chemin dans le chaos, Hyelthia m'informa qu'elle venait de repérer une nouvelle d'âme d'ombre non loin. Duliash avait tenu sa promesse et affrontait le baron blème.
Mais face à nous, le faucheur, la laborantine, leurs sbires et deux dragons de métal. Dire que le combat a été rude serait mentir... Par trois reprises j'ai vu mon amie Hyelthia au sol, et Laethenan ne devait son salut qu'a sa nature a disparaitre et réaparaitre dans le dos des adversaires.
J'affrontais le faucheur, qui se moquait de moi à chaque nouvel échange de coups. Cherchant une ouverture dans ma défense avant d'envoyer ses faux sur Elorin. Ricanant devant mon incapacité à protéger mes alliés. Coup après coup, mon armure déchiquetée, le sang coulant de mes nombreuses blessures, je ne pu rien faire lorsque je le vis faire tomber au sol Elorin avant de promptement l'achever.
Dans un accès de rage démentiel, puisant dans mes dernières ressources je fis voler son casque, révélant le visage de mon ancien frère d'arme, Malathor. Ce traitre, que son nom soit 1000 fois maudit et sa lignée pourrisse avec lui. Ne lui laissant aucun répit
j'abatti mes lames encore et encore, faisant résonner la rage d'Heimfer dans les cieux, échoant avec la mienne. Ma rage de sang n'avait plus de limite et ce n'est que lorsque mes yeux se clore, défait, que je vis une lame traverser sa poitrine par l'arrière. Rhéa, soit tu bénies parmi les pirates.
Titubant après l'aide de Laethein'an, je sorti de ma poche le diamant, avec l'intention de ramener Elorin a nous. Mais mes compagnons le savaient tout aussi bien que moi, user de nécromancie maintenant que Azéliark était parmi nous était folie et ce ne serait pas Elorin qui reviendrait, tout comme jamais le fils de Malathor n'eu pu revenir à la vie.
C'est donc dans un sanglot que je planta mon épée dans le cou du traitre qui m'avait dérobé mon frère. Que jamais tu ne trouves la paix pour avoir trahi le peuple et pour nous avoir dérobé Elorin, notre cher ami.
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L'affrontement sera rude, on le savait.
À la deuxième escarmouche, le monde m'est tombé dessus.
Tout est partie en vrille, la laborantine, le faucheur et deux dragons étaient de la partie.
Pu... putain de dragons, ils se sont acharnés sur Elorin, il n'a pu leur échapper que par chance.
Mais le faucheur, saleté de saleté, a profité de cette instant d'infime sécurité pour l'achever !!!
Salaud !!! Il ne lui a laissé aucune chance, et j'étais trop loin pour aidé mon ami.
Merde, il laisse une fille derrière lui !
Salaud, salaud !!
Mais cet horrible personne nous cachait autre chose.
En plus d'être l'assassin d'Elorin, il porte les traits de Malathor. C'est notre ancien compagnon qui l'a tué.
Non pas lui, pas lui. On s'est battu avec lui ! On a souffert la mort de son fils, comme lui !
Et il revient en tuant l'un des nôtres !
Non, non c'est vraiment la fin de tout !
Si notre but est atteint, il le faut, je ne t'oublierais pas Elorin !
Non, je ne t'oublierais pas... |
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Messages : 145 Date d'inscription : 30/08/2024
| Dim 1 Sep 2024 - 15:08 | |
Peu de temps pour pleurer leurs morts, la déesse liche sous sa forme draconique pénétrait déjà en Oblivion. Ceïl'An, accompagnée par les meilleurs Manteaux Gris, lançait les dernières forces de Syl Gaedrim contre l'Archonte dans une ultime tentative de le distraire de ses chevaliers de l'aube.
Chevauchant leurs hippogriffes, les héros purent rejoindre le dos d'oririum de leur adversaire où un ultime obstacle les attendait : le fils de Hyelthia, tenant entre ses mains les Stances dont il déchaîna rapidement les sombres puissances, invoquant une armée de spectres asservis à sa volonté.
Pour la dernière fois, la barbare dut faire face à son aimée et porter le coup fatal à son état de non-vie. Guidée par sa lame Sépulcre, qui se repaît de son âme en la dévorant pour l'enfermer en elle, comme elle l'avait fait pour Nocturno.
Au terme d'un ultime affrontement sanglant, Hudril, guidé par Heimfer, put repousser Pentir alors que Laetheïn'an gisait inerte, aux portes de la mort.
Quand Sépulcre fut plantée dans la nuque de la liche, le temps sembla se figer. Autour d'eux, une Oblivion brisée, dont les fragments semblaient absorbés par la déesse, se figeait dans les cieux. Loin derrière, le champ de bataille immobile offrait un spectacle surréaliste de gondoles incandescentes aux flammes statiques...
Nul n'avait idée des événements qui s'étaient écoulés. Azel'Liark, dont l'existence même fut effacée par la puissance du dieu primordial Cronos, n'avait jamais mis le moindre plan à exécution, n'avait jamais ouvert la porte d'Oblivion, et la compagnie des vents, dépendante d'un champignon n'existant que sur ce plan, n'avait jamais vu le jour.
Syl'Gaedrim : Couronnement de Ceïl'An, nommée à la tête des forces des garnisons de l'est du royaume elfe. Une silhouette se tient derrière la semi-elfe, une ancienne rivale cantonnée à un rôle bien statique consistant à tenir une ombrelle au-dessus de la princesse. Elle peste intérieurement : si ce rôle la mettait en place pour assurer la protection directe de cette personnalité, il était loin d'être des plus agréables.
Dans la foule, un paladin observe, une certaine colère bouillant en lui. Les rumeurs disaient que de nouvelles tours avaient été érigées à la frontière, que ces bâtiments de protection elfique pouvaient contrôler les tempêtes et ordonner aux cieux de déverser leur puissance sur les envahisseurs. Une hérésie, une abomination ! Seul Eimfer est en droit de disposer de ces puissances naturelles dont il est le créateur.
Plus loin, traversant la foule dense, une semi-elfe se fraye un chemin, avançant en direction de la reine éternelle. Ses yeux vides de toute expression ne cillent qu'à l'écoute d'une voix résonnant en elle, une voix issue de l'épée qui repose à son flanc : "Ignoble bâtarde insignifiante, repais-moi de cette âme, repais-moi de cette reine."
Dans un lieu oublié de Pangée, un lieu autrefois noyé sous les flots par les puissances d'Oblivion, un adolescent achève son rituel. Bientôt, son père, exilé entre les plans par une cabale divine, reviendrait dans cette réalité. Bientôt, il tiendrait sa vengeance et, par le pouvoir des Stances, anéantirait chaque dieu qui se tiendrait sur sa route.
Le couronnement s'achève, alors que, avec un léger sourire aux lèvres, la reine conclut par un vieil adage se voulant porteur de sagesse : "N'oublie pas, ma fille, qu'on ne peut vaincre le mal, on ne fait que le repousser pour qu'il revienne sous une autre forme." |
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